El perfume de las flores de noche

El perfume de las flores de noche

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  • Create Date:2022-05-23 18:16:33
  • Update Date:2025-09-23
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  • Author:Leïla Slimani
  • ISBN:8419047287
  • Environment:PC/Android/iPhone/iPad/Kindle

Summary

«Si quieres escribir una novela, la primera norma es saber decir no, rechazar las invitaciones。» ¿Por qué aceptar entonces la propuesta de pasar una noche en el museo Punta della Dogana?
A través del arte sutil de la digresión en la noche veneciana, Leila Slimani se adentra en el proceso creativo de su escritura, aborda los problemas de identidad y del pasado colonial, de moverse entre dos mundos, Oriente y Occidente, donde ella navega y se balancea, como las aguas de Venecia, ciudad cuyo sino es la belleza y la destrucción。 Este libro es también un diálogo discreto, impregnado de una dulce melancolía, con su infancia en Marruecos, con su padre ya fallecido。 «Escribir es jugar con el silencio, es confesar, de manera indirecta, unos secretos indecibles en la vida real。»

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Reviews

Lila M。

I love her so much 😊my reading has been ina。 Dry spell and she gets me out of it every time, god bless Leila

Othmane

Je ne suis pas du tout surpris de la superficialité de ce texte。 Leila Slimani aime se faire entendre parler。 Ce texte transpire le Slimanisme, lol。 Si j'ai apprécié mes 2 lectures précédentes de cette écrivain, c'est probablement parce que je les ai lus pendant les premiers mois que j'ai découvert la littérature, et que mes goûts ont été encore embryonnaires。 Ce texte, dont les deux quarts ne sont que citations et commentaires insipides, est dans la veine des interviews de Leila, où elle parle Je ne suis pas du tout surpris de la superficialité de ce texte。 Leila Slimani aime se faire entendre parler。 Ce texte transpire le Slimanisme, lol。 Si j'ai apprécié mes 2 lectures précédentes de cette écrivain, c'est probablement parce que je les ai lus pendant les premiers mois que j'ai découvert la littérature, et que mes goûts ont été encore embryonnaires。 Ce texte, dont les deux quarts ne sont que citations et commentaires insipides, est dans la veine des interviews de Leila, où elle parle de sa vie au Maroc, de sa mélancolie, de son désir d'être enfermée。。 Etc etc。。 Sauf que je l'ai beaucoup entendu parler, et donc lire un texte qui ressemble beaucoup à ce qu'elle dit toujours dans les plateaux télé qu'elle ne quitte pas, est agaçant。 Le style n'a rien de spécial, et au lieu de faire de l'expérience d'une nuit au musée quelque chose d'intéressant, elle nous parle des détails de sa vie de petite bourgoise mélancolique, et même les réflexions qu'elle a élaborées sont creuses et ressassées, elle parle trop de l'écriture comme si elle était Virginia Woolf ou je ne sais qui。。。 Le point positif de ce texte c'est qu'il y a quelques jolies phrases ici et là 。。。more

Marco

Je ne connais pas Leïla Slimani donc je ne sais pas je j'aimerai ses romans ou pas, mais pour quelque raison je ne m'en sens pas très attiré après avoir lu ce livre。 Bien sûr elle écrit très bien, elle a beaucoup lu et j'ai rencontré de belles réflexions sur l'identité, l'enfance, le colonialisme, la relation avec son père, mais je sentais un peu de arrogance et supériorité lorsque elle parlais de soi même comme écrivain。 En plus, je n'aime pas l'idée qu'il faut se détacher et s'isoler pour écri Je ne connais pas Leïla Slimani donc je ne sais pas je j'aimerai ses romans ou pas, mais pour quelque raison je ne m'en sens pas très attiré après avoir lu ce livre。 Bien sûr elle écrit très bien, elle a beaucoup lu et j'ai rencontré de belles réflexions sur l'identité, l'enfance, le colonialisme, la relation avec son père, mais je sentais un peu de arrogance et supériorité lorsque elle parlais de soi même comme écrivain。 En plus, je n'aime pas l'idée qu'il faut se détacher et s'isoler pour écrire。 J'aime mieux l'idée d'un auteur qui vit avec les gens et qui sort de ses expériences les idées pour écrire, même s'il s'agit de fiction。 Mais enfin, qu'est-ce que j'en sais moi, je ne suis pas écrivain, respect pour ceux qui le font。 。。。more

Ana Castro

«  Écrire c’est découvrir la liberté de s’inventer soi-même et d’inventer le monde « 。 Este e outros pensamentos sobre a escrita e o que é preciso para alguém ser um escritor。 E outros em que me revejo completamente: “Souvent je me suis demandé à quoi aurait ressemblé ma vie si je n’avais pas eu peur »。 É um livro cheio de pensamentos tanto da autora como de outros escritores。Uma mistura de pensamentos。 Uma introspecção durante uma noite fechada num museu 。Um livro bonito 。

avrilconuve

En este libro, Leila pasa una noche encerrada por voluntad propia en el museo de arte contemporáneo Punta della Dogana, de Venecia。 Y el perfume de la dama de noche mesk el-lil, planta de su infancia, abre la narración a un viaje a su propia historia, a sus fantasmas, miedos y deudas。 A profundas e interesantes reflexiones sobre el acto de escribir, al diálogo con las obras, artistas y escritores。 Un monólogo interno que va de lo artístico e intelectual, a lo biográfico y personal, mientras se p En este libro, Leila pasa una noche encerrada por voluntad propia en el museo de arte contemporáneo Punta della Dogana, de Venecia。 Y el perfume de la dama de noche mesk el-lil, planta de su infancia, abre la narración a un viaje a su propia historia, a sus fantasmas, miedos y deudas。 A profundas e interesantes reflexiones sobre el acto de escribir, al diálogo con las obras, artistas y escritores。 Un monólogo interno que va de lo artístico e intelectual, a lo biográfico y personal, mientras se pasea descalza por las salas del museo, deseando poder fumarse un cigarrillo。 Una de las muchas cosas que me ha gustado de “El perfume de las flores de noche” es que me ha acercado al proceso de escritura de Leila en “El país de los otros”, la última novela que ha publicado。 Me encantan los libros que hablan de libros, y así redescubrirlos desde otras ópticas。Pero quizás, lo que más me llevo de este breve ensayo, es comprobar las implicaciones íntimas de por qué me encanta esta autora, y además, hacerlo desde sus propias confesiones。 Leila escribe mucho en este libro sobre los lugares, sobre la identidad fragmentaria de quién siempre puebla el país de los otros, sobre la memoria de las ciudades, también sobre la movilidad y aquellos a quienes se les niega。 Dice, «me parece que sólo podemos habitar en un lugar si tenemos la posibilidad de abandonarlo, de irnos de allí。», y siento que su escritura transmite justamente esto: que es una autora que habita todos los escenarios literarios que construye, y es capaz de hacerlo puesto que no permanece en ellos, no se aferra a ninguno。 Por eso cuando leo a Leila, siento una enorme libertad。Os deseo esta misma sensación。 —————«Si me limitara a un mutismo absoluto, cultivaría metáforas y vuelos poéticos como flores en invernaderos。»«Lo que no decimos nos pertenece para siempre。»«La verdad es que las novelas se te imponen, te devoran。»«Ahí están mis espectros que regresan。»«Allí tejo mi tela, invento espacios para la libertad y la mentira, que, a mi entender, son una única y misma cosa。» 。。。more

Laura

It's hard to describe this book since it is a mixture of autobiography, art and literary criticism。 But I really like it and I am planning to explore more books by this author。3* The Perfect Nanny4* O perfume das flores à noiteTR In the Country of Others (Le pays des autres, #1)TR Regardez-nous danser (Le pays des autres, #2) It's hard to describe this book since it is a mixture of autobiography, art and literary criticism。 But I really like it and I am planning to explore more books by this author。3* The Perfect Nanny4* O perfume das flores à noiteTR In the Country of Others (Le pays des autres, #1)TR Regardez-nous danser (Le pays des autres, #2) 。。。more

Graça Carrapatoso

Um livro extraordinário, daqueles que apetece, no fim, voltar rapidamente à primeira pagina e recomeçar a leitura。。。 uma escrita fluente, uma clareza de ideias só possivel numa mente brilhante mas com uma sensibilidade fora do comum。。。Mulher, claro! Recomendo。 😘

Salma Salma Leroy

« C'est en France que je suis devenue une Arabe。 Une beur。 La première fois que j'ai entendu ce mot, je ne l'ai pas compris。 On m'a dit : «Les beurs, c'est les Arabes d'ici。 » D'un coup, en arrivant en France, j'étais d'origine maghrébine, issue d'un territoire indéterminé, sans frontières, sans différences ou subtilités。 Pire encore, je découvrais avec les années que j'étais, comme l'a si bien formulé mon ami Olivier Guez, «l'Arabe comme ils l'aiment»。 Une Arabe qui mange du porc et boit de l'a « C'est en France que je suis devenue une Arabe。 Une beur。 La première fois que j'ai entendu ce mot, je ne l'ai pas compris。 On m'a dit : «Les beurs, c'est les Arabes d'ici。 » D'un coup, en arrivant en France, j'étais d'origine maghrébine, issue d'un territoire indéterminé, sans frontières, sans différences ou subtilités。 Pire encore, je découvrais avec les années que j'étais, comme l'a si bien formulé mon ami Olivier Guez, «l'Arabe comme ils l'aiment»。 Une Arabe qui mange du porc et boit de l'alcool, une femme émancipée et pas inquiétante, plus attachée encore que les Français eux-mêmes aux idées de laïcité et d'universalité。 J'étais une Maghrébine, aux cheveux frisés et à la peau mate, avec un prénom étranger, mais qui pouvait citer Zola et qui avait grandi bercée par les films hollywoodiens des années 1950。 J'étais comme eux mais avec une pointe d'exotisme, aimaient-ils me faire remarquer。 On ne me demande pas d'où je viens ni où jai grandi。 On me demande de quelle origine je suis et je réponds parfois que n'étant ni une pièce de viande ni une bouteille de vin je n'ai pas d'origine mais une nationalité, une histoire, une enfance。 Jamais tout à fait d'ici, plus tout à fait de là-bas, je me suis longtemps sentie comme dépossédée de toute identité。 Comme une traître aussi car je ne parvenais jamais totalement à embrasser le monde dans lequel je vivais。 C'étaient toujours les autres qui décidaient pour moi de ce que j'étais。 » 。。。more

Cule。Jule

4,5 von 5 SterneEin lesenswerter Roman, in der die Autorin von einer ungewöhnlichen Nacht allein im Museum Punta della Dogana in Venedig erzählt。 Was erlebt sie dort? Welche Gedanken erscheinen ihr? Wer ist sie überhaupt? Und warum schreibt sie eigentlich? Fragen, die die Autorin dem Leser beantwortet。 Ihre Offenheit hat mich ab der ersten Seite beeindruckt。 Vor allem ihr Leben zwischen den Kulturen und den Bezug zum Schreiben。 156 Seiten, die aus dem Französischen von Amelie Thoma übersetzt wur 4,5 von 5 SterneEin lesenswerter Roman, in der die Autorin von einer ungewöhnlichen Nacht allein im Museum Punta della Dogana in Venedig erzählt。 Was erlebt sie dort? Welche Gedanken erscheinen ihr? Wer ist sie überhaupt? Und warum schreibt sie eigentlich? Fragen, die die Autorin dem Leser beantwortet。 Ihre Offenheit hat mich ab der ersten Seite beeindruckt。 Vor allem ihr Leben zwischen den Kulturen und den Bezug zum Schreiben。 156 Seiten, die aus dem Französischen von Amelie Thoma übersetzt wurden und sich wunderbar lesen。 Ich werde definitiv noch weitere Bücher von der Autorin lesen。 。。。more

Jen

Une réussite pour moi! J’étais réticente à la sortie du livre et finalement conquise par cette lecture。 Je me suis retrouvée dans énormément de réflexions de l’autrice。 Elle y décrit les œuvres exposées et laisse libre court à ses réflexions sur l’art, la liberté, sa condition de femme ayant grandi au Maroc, sa relation à son père et à la littérature… J’ai aimé son franc parler et la poésie qui ce dégage de ses descriptions des œuvres。 En refermant le livre j’ai deux envies, me rendre à la proch Une réussite pour moi! J’étais réticente à la sortie du livre et finalement conquise par cette lecture。 Je me suis retrouvée dans énormément de réflexions de l’autrice。 Elle y décrit les œuvres exposées et laisse libre court à ses réflexions sur l’art, la liberté, sa condition de femme ayant grandi au Maroc, sa relation à son père et à la littérature… J’ai aimé son franc parler et la poésie qui ce dégage de ses descriptions des œuvres。 En refermant le livre j’ai deux envies, me rendre à la prochaine exposition d’art contemporain et visiter Venise et le musée Punta Della Dogana。 。。。more

Elisabete Santos

Um pequeno livro com uma imensa riqueza。 Leila Slimali submete-se à experiência de uma noite num museu: sozinha e solitária, como ela prefere。 Daqui nasce uma obra prima que aborda de uma forma sublime, íntima e poética uma diversidade de temas marcantes da sua vida。

Candice 🌱

Avis mitigé… J’ai adoré l’image du galant de nuit, cet arbre dont les fleurs ne s’ouvrent que la nuit, et j’étais curieuse quand Leila Slimani se confiait sur son père。 J’aurais aimé en savoir plus sur le contexte politique de l’époque et l’histoire du Maroc。 Mais ce n’est pas développé ici, et son récit est entrecoupé de citations qui m’ont souvent fait perdre le fil。

Carla Coelho

O pretexto para este livro foi o convite dirigido a Leila Slimani para passar uma noite encerrada num museu de arte contemporânea em Veneza。 Apesar das dúvidas iniciais, a escritora acaba por aceitar。 O resultado dessa noite é uma viagem ao passado, com a evocação da sua infância e primeira juventude, dos dias vividos em Marrocos e da família, em particular do pai。 E também um exercício sobre o que significa ser escritor, com a descrição das artes e dores do ofício que Slimani escolheu para si。 O pretexto para este livro foi o convite dirigido a Leila Slimani para passar uma noite encerrada num museu de arte contemporânea em Veneza。 Apesar das dúvidas iniciais, a escritora acaba por aceitar。 O resultado dessa noite é uma viagem ao passado, com a evocação da sua infância e primeira juventude, dos dias vividos em Marrocos e da família, em particular do pai。 E também um exercício sobre o que significa ser escritor, com a descrição das artes e dores do ofício que Slimani escolheu para si。 Como todos os livros da autora esta é uma obra bem escrita, servida por uma excelente tradução da edição portuguesa e que pode servir também para quem lê fazer um exercício de introspecção numa próxima visita a um museu。 De noite ou de dia。 。。。more

Rita

Book #15 #april #2022

Sóley

Ich habe erst Ende Februar ‚Das Land der Anderen‘ von Leïla Slimani für den Lesekreis gelesen。 Der Roman, den die Autorin Erzählungen ihrer Großeltern und Eltern nachempfunden hat, hat mir sehr gut gefallen, so dass mich dieser Band besonders interessiert hat。Diesmal erzählt die Autorin von einer Nacht, die sie im Museo Punta della Dogana verbringen darf。 Dabei verbindet sie locker Erinnerungen an ihre Kindheit in Rabat und ihre Familie, Gedanken über das Dasein als Schriftstellerin und Mutter u Ich habe erst Ende Februar ‚Das Land der Anderen‘ von Leïla Slimani für den Lesekreis gelesen。 Der Roman, den die Autorin Erzählungen ihrer Großeltern und Eltern nachempfunden hat, hat mir sehr gut gefallen, so dass mich dieser Band besonders interessiert hat。Diesmal erzählt die Autorin von einer Nacht, die sie im Museo Punta della Dogana verbringen darf。 Dabei verbindet sie locker Erinnerungen an ihre Kindheit in Rabat und ihre Familie, Gedanken über das Dasein als Schriftstellerin und Mutter und ihre Gefühle und Empfindungen, die sie in dieser Nacht im Museum hat。Sie zitiert andere Schriftsteller und notiert ihre Gedanken zu den zitierten Passagen, und was sie mit sich und ihrem Leben verbindet。Das Buch ist mit seinen 160 Seiten angenehm kurz und schnell zu lesen, ist aber voller Tiefe und Persönlichkeit。 Der Schreibstil gefällt mir sehr gut und ich hatte das Gefühl, direkt dabei zu sein, wenn die Autorin barfuß durch das Museum streift, oder in ihren Erinnerungen an den nächtlichen Abenteuern in Marokko versinkt。 Man glaubt fast, die Blumen riechen zu können, die auch dem Buch den Titel geben: Nachtjasmin, auch galant de nuit oder mesk el arabi genannt。Der Geruch der Pflanzen weckt weitere Erinnerungen, in denen die Autorin wie durch Räume in einem Museum umher streift und den Lesenden Einblick in ganz persönliche Erinnerungen und Gefühle gewährt。Ich habe das Buch sehr gerne gelesen und werde sicher auch weitere Bücher von Leïla Slimani lesen。 Ich mag ihren Schreibstil。 。。。more

Isabelle Phou

Lecture compulsive que j’ai dévorée en quelques heures, tout comme “Dans le jardin de l’ogre”。 Leila Slimani a un style d’écriture haletant, envoûtant, tout en restant dans la simplicité et le réel。 J’ai eu l’impression de vivre en temps réel cette nuit au musée avec elle。 J’ai adoré suivre ses pensées et réflexions à travers ce court récit autobiographique。

Paulo G。

RESEÑAA Leila Slimani (Rabat, 1981) le propusieron pasar una noche encerrada a solas en el museo de arte contemporáneo Punta della Dogana, en Venecia。 Aunque la propuesta no le generaba mucho entusiasmo, terminó por aceptar。 Y menos mal, porque gracias a ello tenemos El perfume de las flores de noche。Esa noche de encierro entre instalaciones artísticas se convierte en un pretexto para que la autora haga una exploración emocional, cultural y vital que crece a medida que las horas de oscuridad ava RESEÑAA Leila Slimani (Rabat, 1981) le propusieron pasar una noche encerrada a solas en el museo de arte contemporáneo Punta della Dogana, en Venecia。 Aunque la propuesta no le generaba mucho entusiasmo, terminó por aceptar。 Y menos mal, porque gracias a ello tenemos El perfume de las flores de noche。Esa noche de encierro entre instalaciones artísticas se convierte en un pretexto para que la autora haga una exploración emocional, cultural y vital que crece a medida que las horas de oscuridad avanzan fuera y dentro del recinto。 Sin embargo, la magnitud de las reflexiones de Leila queda reflejada ya en la primera página que abre este libro。 En su primera frase。 «Si quieres escribir una novela, la primera norma es saber decir no»。 Valiéndose del arte de la digresión, unos pensamientos se entrelazan con otros según se suman las páginas, que se pasan casi con avidez。 No hay una historia, un argumento como tal; hay cientos de ellos compartimentados en un proceso de introspección que abre sus pétalos como lo hacen las flores de noche, junto a la particularidad de su aroma, que la acompañan de manera singular por los pasillos vacíos y silenciosos del museo。Oriente y Occidente alternan su posición en la proa y la popa de esta embarcación que se mece con una sutileza narrativa digna de admiración。 La autora habla de sí pero, al hacerlo, cada concepto, cada tema sobre el que posa la mirada, adquiere un valor universal。 Da la sensación de no guardarse nada, aunque esto no sea cierto。 Sus orígenes, su relación con la escritura, la dualidad de quien no se siente pertenecer ni a un lado ni a otro。 El arte, la política, la familia, la soledad, la dicha。 Su tímido recorrido por las obras de arte expuestas durante unas horas solo para ella traza un sinuoso camino por la historia de una vida en la que se pueden ver reflejadas tantas otras。Es una obra llena de pasajes que a duras penas pueden resistirse al subrayado, salvo que quien tenga el libro en las manos considere sacrílega una técnica así。 En referencia al oficio de escritor, las reflexiones, casi sentencias, se reparten por el texto como trabajos delicados con los que no hay que comulgar, solo observar como espectadores de una obra de arte。 «La escritura es disciplina。 Es renunciar a la felicidad, a las alegrías de la vida cotidiana。 No intentar curarse ni consolarse, sino cultivar las propias penas, al igual que los investigadores cultivan en el laboratorio las bacterias dentro de frascos de vidrio»。También las referencias a otros artistas o pensadores encuentran hueco y cobran aún más relevancia en la composición que poco a poco se arma。 «Marcel Duchamp decía que son los observadores quienes hacen los cuadros。 Si se está de acuerdo con esta afirmación, no es que la obra no sea buena ni interesante, sino que el observador no sabe mirar。 “Por espectador, no me refiero únicamente al contemporáneo, sino a la posteridad y a los observadores de obras de arte, quienes con su voto deciden si una cosa debe mantenerse o sobrevivir porque tiene una profundidad que el artista ha producido, sin saberlo”»。El perfume de las flores de noche es una obra que pueden disfrutar los que aman el arte y los que, como la autora, no consiguen verse hechizados por él; los apasionados de la escritura y quienes solo practican la lectura; los curiosos de distintas culturas y los que no soportan grandes disertaciones sobre el tema。 Es una confesión íntima y deslumbrante de la que no se necesita esperar nada, cuando lo ofrece prácticamente todo。 。。。more

Susana Frazão

Leila Slimani tornou-se uma das minhas autoras favoritas de sempre… a sua escrita é pura arte… um livro simples, mas contudo original na sua criação, com uma premissa simples mas que se transforma num pequeno espelho que reflecte um pouco mais da personalidade da autora… adorei 💓

Pedro Alhinho

Slimani escreve sempre bem。 Aqui o registo é o de um monologo interior, vagamente melancolico e autobiografico。 Registo da mulher escritora que volta às memorias da infancia, à recordacao do pai, à sua Rabat de origem。É muito tambem uma obra sobre a individualidade e a solidão。Como em:"O que nao dizemos pertence-nos para sempre。"E em:Nao tenho medo da morte a morte não é senão uma solidão conseguida, inteira, absoluta。"Por fim:"Que temos nós a contar quando sentimos que nao pertencemos a lado ne Slimani escreve sempre bem。 Aqui o registo é o de um monologo interior, vagamente melancolico e autobiografico。 Registo da mulher escritora que volta às memorias da infancia, à recordacao do pai, à sua Rabat de origem。É muito tambem uma obra sobre a individualidade e a solidão。Como em:"O que nao dizemos pertence-nos para sempre。"E em:Nao tenho medo da morte a morte não é senão uma solidão conseguida, inteira, absoluta。"Por fim:"Que temos nós a contar quando sentimos que nao pertencemos a lado nenhum?" 。。。more

Vera Sopa

Este livro é uma extraordinária viagem que nos dá mundo。 Confessional, íntimo e tão bom, na simplicidade da escrita de Leïla (que em árabe significa noite) de que já sou incondicional admiradora。 A escrita e a literatura é o mote para um primeiro ensaio publicado。 Sozinha e descalça, uma noite num museu de arte contemporânea em Veneza é transportada para os recantos que a memória perservou。 Identidade também foi assunto。 E consequentemente, liberdade。 E não faltaram interjeições de grandes autor Este livro é uma extraordinária viagem que nos dá mundo。 Confessional, íntimo e tão bom, na simplicidade da escrita de Leïla (que em árabe significa noite) de que já sou incondicional admiradora。 A escrita e a literatura é o mote para um primeiro ensaio publicado。 Sozinha e descalça, uma noite num museu de arte contemporânea em Veneza é transportada para os recantos que a memória perservou。 Identidade também foi assunto。 E consequentemente, liberdade。 E não faltaram interjeições de grandes autores para aconchegar uma ideia, um pensamento。 E a leitura faz-se de avanços e recuos para guardar e apreciar palavras sábias e sensatas de quem contempla os outros。"A literatura, como a arte, não conhece o tempo da vida quotidiana。 Não quer saber das fronteiras entre o passado e o presente。 A literatura faz acontecer o futuro, devolve-nos às florestas claras da infância。 O passado, quando escrevemos, não está morto。 " (pag。134) 。。。more

Melanie

Mir fällt es schwer, eine eindeutige Meinung zu diesem Buch zu finden。 Für mich gibt es 2 sehr unterschiedliche Teile。 Der Beginn des Buches ist sehr negativ gehalten und die Autorin zeichnet ein sehr dunkles Bild ihres Berufes und ich frage mich, warum sie überhaupt schreibt, wenn es so schlimm ist。 Der Teil, der in dem Museum spielt, ist dagegen sehr gut。 Sie lässt sich von der Kunst, die ihr begegnet, inspirieren。 Einzelne Kunstwerke lösen Erinnerungen und Assoziationen aus, die die Autorin s Mir fällt es schwer, eine eindeutige Meinung zu diesem Buch zu finden。 Für mich gibt es 2 sehr unterschiedliche Teile。 Der Beginn des Buches ist sehr negativ gehalten und die Autorin zeichnet ein sehr dunkles Bild ihres Berufes und ich frage mich, warum sie überhaupt schreibt, wenn es so schlimm ist。 Der Teil, der in dem Museum spielt, ist dagegen sehr gut。 Sie lässt sich von der Kunst, die ihr begegnet, inspirieren。 Einzelne Kunstwerke lösen Erinnerungen und Assoziationen aus, die die Autorin sehr schön beschreibt und interessant sind。 Für mich war es einen kurzweilige, schöne Lektüre, die durchaus empfehlenswert。 。。。more

Jongorenard

Nous sommes en 2019, Leïla Slimani est en pleine écriture de son roman "Le pays des autres"。 Ce processus de création littéraire exige d’elle énormément de concentration, raison pour laquelle elle refuse toute sollicitation extérieure。 Fidèle à son habitude, elle s’enferme tous les jours dans son bureau, coupe son téléphone, s’isole pour se retrouver dans la solitude de l’écriture。 « Écrire c’est s’entraver, mais de ces entraves mêmes naît la possibilité d’une liberté immense, vertigineuse », éc Nous sommes en 2019, Leïla Slimani est en pleine écriture de son roman "Le pays des autres"。 Ce processus de création littéraire exige d’elle énormément de concentration, raison pour laquelle elle refuse toute sollicitation extérieure。 Fidèle à son habitude, elle s’enferme tous les jours dans son bureau, coupe son téléphone, s’isole pour se retrouver dans la solitude de l’écriture。 « Écrire c’est s’entraver, mais de ces entraves mêmes naît la possibilité d’une liberté immense, vertigineuse », écrit-elle。 Étonnamment, elle accepte cependant un rendez-vous avec son éditrice qui lui fait part d’un projet singulier : des auteurs se laissent enfermer une nuit dans un musée et écrivent sur cette expérience。 D’abord dubitative, elle se laisse finalement convaincre, non par le fait d’écrire sur les œuvres d’art qui l’intéressent peu, mais par celui d’être enfermée。De ce projet naît "Le parfum des fleurs la nuit", un livre de commande dont on pourrait craindre une écriture laborieuse ou superficielle。 « Pourquoi ai-je accepté d’écrire ce texte alors que je suis intimement convaincue que l’écriture doit répondre à une nécessité, à une obsession intime, à une urgence intérieure ? » se demande-t-elle。 Mais cette commande sur l’enfermement, loin de la piéger va au contraire l’inspirer。 Leïla Slimani va se sortir du traquenard dans lequel elle s’est fourrée précisément en décrivant ce piège。 Elle va écrire un texte d’une grande fluidité sur l’enfermement dans lequel elle va raconter l’histoire de son émancipation en partageant avec le lecteur de nombreuses réflexions très personnelles。Au début, elle nous parle de son métier d’écrivain et de la place de la littérature dans sa vie。 Elle donne un aperçu de ce que j’appellerais la contradiction de l’écriture, à savoir que son activité d’écrivain se trouve souvent en opposition avec la vraie vie, la vie quotidienne。 Elle refuse les sollicitations extérieures, quelles qu’elles soient comme aller au restaurant ou au cinéma。 On souffre pour elle。 Ensuite, elle nous livre ses pensées au fil de l’eau des canaux de Venise ou des salles du musée de la Punta della Dogana dans lequel elle est enfermée une nuit : réflexion acerbe sur le tourisme, ironique sur la trivialité des œuvres d’art contemporain。 On se demande par moment ce qu’elle fait là tant elle a l’air de s’ennuyer, de ne pas être intéressée par les œuvres du musée。 Heureusement, elle raconte tout cela avec beaucoup d’humour et de nombreuses références culturelles。 Dans une salle au centre du musée, elle perçoit, renfermées dans des terrariums géants, les branches et les feuilles du galant de nuit。 Telle une madeleine de Proust, cet arbre qui parfume les nuits de son enfance à Rabat va convoquer ses « revenants » et faire resurgir des souvenirs。 C’est le cœur autobiographique du récit et la partie que j’ai trouvée la plus intéressante。 Leïla Slimani y parle de ses origines, de sa double identité, de sa famille, de son père, homme mystérieux et ancien ministre emprisonné et condamné à tort pour malversations。 Elle lui rend hommage en racontant comment il l’a encouragée à écrire et comment après sa mort, elle est devenue écrivain pour lui redonner sa dignité et tenter de réparer l’injustice qu’il a subie。 « La littérature ne sert pas à restituer le réel, mais à combler les vides, les lacunes。 »"Le parfum des fleurs la nuit" est un récit captivant qui résonne malgré sa brièveté。 Je l’ai aimé pour son honnêteté, sa modestie, sa drôlerie et sa fluidité。 。。。more

Chrissi

Ich habe dieses Jahr schon sehr viele Bücher gelesen, aber dieses war mit "Abstand" das beste und intensivste seit Monaten。 Wirklich。 So gut! Ich habe dieses Jahr schon sehr viele Bücher gelesen, aber dieses war mit "Abstand" das beste und intensivste seit Monaten。 Wirklich。 So gut! 。。。more

Alma

"A literatura não serve para restituir o real, serve para preencher vazios, lacunas。 Exumamos e ao mesmo tempo criamos uma outra realidade。 Não inventamos, imaginamos, damos corpo a uma visão que construímos de uma ponta a outra, com pedaços de recordações e de obsessões eternas。" "A literatura não serve para restituir o real, serve para preencher vazios, lacunas。 Exumamos e ao mesmo tempo criamos uma outra realidade。 Não inventamos, imaginamos, damos corpo a uma visão que construímos de uma ponta a outra, com pedaços de recordações e de obsessões eternas。" 。。。more

Gedankenlabor

>>Schreiben heißt, sich Fesseln anlegen, doch aus diesen Fesseln selbst erwächst die Möglichkeit einer ungeheuren, schwindelerregenden Freiheit。 Ich erinnere mich an den Moment, als mir dies bewusst wurde。 。。。<<„Der Duft der Blumen bei Nacht“ von Leila Slimani war für mich ein ganz besonderes Buch, ein bisschen Geschichte und ganz viel Seelenleben von Leila Slimani selbst。 Innerhalb dieses Buches konnte ich nicht nur gemeinsam mit ihr eine ganz besondere und auch ungewöhnliche Nacht im Museum Pu >>Schreiben heißt, sich Fesseln anlegen, doch aus diesen Fesseln selbst erwächst die Möglichkeit einer ungeheuren, schwindelerregenden Freiheit。 Ich erinnere mich an den Moment, als mir dies bewusst wurde。 。。。<<„Der Duft der Blumen bei Nacht“ von Leila Slimani war für mich ein ganz besonderes Buch, ein bisschen Geschichte und ganz viel Seelenleben von Leila Slimani selbst。 Innerhalb dieses Buches konnte ich nicht nur gemeinsam mit ihr eine ganz besondere und auch ungewöhnliche Nacht im Museum Punta Della Dogana in Venedig verbringen, sondern eben auch tief in ihre Gedanken rund um das Schreiben, ihre Gefühle, Familie und die Kunst eintauchen。Besonders interessant empfand ich ihre Gedanken rund um das Schreiben, den Prozess und was es tief in einem bewirkt, auslöst und mit sich zieht。 „Der Duft der Blumen bei Nacht“ war für mich insgesamt ein sehr interessanter und bewegender Blick, den Leila Slimani dem Leser hier gewährt und für mich fühlte sich jede Zeile unglaublich ehrlich an und das brachte mir die Autorin noch ein ganzes Stück weit näher。 Gleichzeitig möchte ich mich in naher Zukunft noch viel mehr mit ihren Werken auseinander setzen, denn:>>Das, was wir nicht sagen, gehört uns für immer。 Schreiben heißt, mit dem Schweigen spielen, auf Umwegen Geheimnisse aussprechen, die im wahren Leben unaussprechlich sind。 。。。<<。。。Und in ihren Geschichten dem Schweigen, einhergehend mit den Gedanken dahinter zu lauschen, all die Geheimnisse zu entdecken, hinter die Fassaden zu schauen, das weckt meine Neugier ungemein! Daher kann ich diese kleine, aber absolut kraftvolle, ehrliche und mitunter bewegende Lektüre jedem ans Herz legen, der einfach mal tiefer schauen, hinter die Fassade schauen möchte und gleichzeitig die Kunst aus Leila Slimani's Blickwinkel betrachten möchte。 >>Wie macht man die Erinnerung sichtbar … Alle hier versammelten Künstlerinnen und Künstler scheint diese Suche umzutreiben: Sie wollen in der Welt, die sie umgibt, die Spuren der Geister finden und so beweisen, dass nichts jemals verschwindet。 。。。<< 。。。more

Juan Rivera

L'écriture est une discipline qui repose avant tout sur le fait de savoir dire « non »。 Ne pas sortir avec des amis, ne pas aller à une réunion sociale, ne pas regarder la télévision, ne pas faire grand-chose。 Comme la lecture, je pense que pour être lecteur il faut trouver des moments de solitude, et bien souvent on ne les trouve que lorsqu'on a le bon partenaire, les enfants ont grandi et votre travail le permet, comme c'est mon cas aujourd'hui 。 Dans ce livre, Leïla Slimani nous raconte ses i L'écriture est une discipline qui repose avant tout sur le fait de savoir dire « non »。 Ne pas sortir avec des amis, ne pas aller à une réunion sociale, ne pas regarder la télévision, ne pas faire grand-chose。 Comme la lecture, je pense que pour être lecteur il faut trouver des moments de solitude, et bien souvent on ne les trouve que lorsqu'on a le bon partenaire, les enfants ont grandi et votre travail le permet, comme c'est mon cas aujourd'hui 。 Dans ce livre, Leïla Slimani nous raconte ses intimités d'écrivain, comment elle aime être seule et concentrée, son père en prison, sa vie d'immigrée。 Un livre intimiste où se fait sentir la vie intérieure profonde de Leïla。 。。。more

mari_liest

In ihrem neuen #Buch erzählt Leïla Slimani sehr persönliche Dinge aus ihrem Leben, während sie eine Nacht im „Museo Punta della Dogana“ in #Venedig eine Nacht freiwillig „eingesperrt“ sein darf。 Ein Museum der modernen Kunst, mit sehr raffinierten Ausstellungsstücken und speziellen Erfahrungen – sehr spannend, wenn bedenkt wieviel Kunst Venedig eigentlich sowohl von seinen Bauwerken als auch Traditionen und Lebensweisen ist。 Und auch irgendwie eine paradoxe Nacht im Museum, da sie doch ein sehr In ihrem neuen #Buch erzählt Leïla Slimani sehr persönliche Dinge aus ihrem Leben, während sie eine Nacht im „Museo Punta della Dogana“ in #Venedig eine Nacht freiwillig „eingesperrt“ sein darf。 Ein Museum der modernen Kunst, mit sehr raffinierten Ausstellungsstücken und speziellen Erfahrungen – sehr spannend, wenn bedenkt wieviel Kunst Venedig eigentlich sowohl von seinen Bauwerken als auch Traditionen und Lebensweisen ist。 Und auch irgendwie eine paradoxe Nacht im Museum, da sie doch ein sehr freiheitsliebender Mensch ist, wie man im Laufe des Buches auch erfährt, und sich dennoch dort einfindet, um über das Schreiben im Allgemeinen nachzudenken。In dem Buch schreibt sie über ihr Leben, diverse Situationen und lässt uns an ihrem Leben in Frankreich und ihren Erinnerungen an die Heimat teilhaben。Das Buch hat mich gefesselt, von der ersten Seite an。 Daher habe ich wirklich zurückhaltend in zwei Tagen *lach* über den Tag verteilt kleine Häppchen in mich hineingelesen。 Ein kleiner Schatz mit autobiographischem Hintergrund ist mir hier in die Hände gefallen, hat mich doch ihr Buch „Sex und Lügen“ vollkommen aus den Schuhen gehauen vorletztes Jahr。 Am schönsten mochte ich ihre Erzählung zum Nacht-Jasmin aus ihrer #Heimat und dem umgekehrten Zyklus dazu im Museum。Zu Beginn gibt sie uns Einblicke in eine vermeintliche (?), ich nenne es mal, „Zerrissenheit des Schreibens“: nämlich dem Prozess des Schreibens an sich und dem damit verbundenen, und auch notwendigen, Rückzug aus dem täglichen Leben。 Eine der ersten Informationen im Buch。 Wir erhalten Einblicke in ihre Gedanken, die Welt des Schreibens, die Beziehung zu ihrem Vater und zum Leben in zwei Ländern und die damit verbundene Identität。 Leïla Slimanis neues Buch ist ein wirklich schönes und feines #Lesevergnügen und bereitet angenehme Stunden。 Große Leseempfehlung! 。。。more

Arcimboldis World

Nach dem Auftakt der Roman-Trilogie über ihre Herkunft und ihre Familie mit dem ersten Band „Das Land der Anderen“ im letzten Jahr wurde nun ein neuer Essay-Band von Leïla Slimani auf deutsch veröffentlicht, in dem sie sehr offen und persönlich über einen nächtlichen Aufenthalt im Museo Punta della Dogana in Venedig erzählt…Der Name Leïla kommt aus dem Arabischen und bedeutet „Nacht“ erfährt man, neben vielen weiteren Details aus der Gedankenwelt der Autorin, die uns an in diesem kleinen Band da Nach dem Auftakt der Roman-Trilogie über ihre Herkunft und ihre Familie mit dem ersten Band „Das Land der Anderen“ im letzten Jahr wurde nun ein neuer Essay-Band von Leïla Slimani auf deutsch veröffentlicht, in dem sie sehr offen und persönlich über einen nächtlichen Aufenthalt im Museo Punta della Dogana in Venedig erzählt…Der Name Leïla kommt aus dem Arabischen und bedeutet „Nacht“ erfährt man, neben vielen weiteren Details aus der Gedankenwelt der Autorin, die uns an in diesem kleinen Band daran teilhaben lässt。 Ihre Literaturagentin hat sie zu der Aktion überredet, eine Nacht eingeschlossen in Venedigs ehemaligem Zollgebäude zu verbringen, in dem sich heute ein Museum befindet。 Beim Flanieren dahin begegnen ihr Unmengen an Kreuzfahrern und Touristen, das ist auch eine ihrer ersten Erkenntnisse – Sie hat keine Angst vor diesem Eingesperrtsein, vielmehr wohl eine Angst vor dem Draussen in der häufig so überlaufenen Lagune。 Der Ort könnte passender nicht sein, denn die Punta della Dogana ist ein Ort, an dem sich die unterschiedlichsten Kulturen begegnen und Leïla selbst sieht sich auch immer hin- und hergerissen – sie ist keine von „hier“ und keine von „dort“。 Das ist ihr Thema。Es ist bewundernswert, mit welcher Leichtigkeit die Autorin essentielle Themen ihres Lebens behandelt, beschreibt und uns als Leser daran teilhaben lässt。 Vielbelesen zitiert sie situativ von Flaubert bis hin zu Virginia Woolf und erzählt von den Entstehungsprozessen ihrer Texte und einsamen Stunden in ihrem Schreibzimmer in Paris。 Das alles vom lockeren Plauderton bis hin zu philosophischen Gedanken。 Slimani ist eine der ganz grossen zeitgenössischen Autorinnen Frankreichs, es herrscht grosse Vorfreude auf die Fortsetzung von „Das Land des Anderen“… 。。。more

Charlene Chasp

Geplant war dieses Büchlein nicht。 Aber das Projekt klang einfach zu interessant: Eine Nacht eingeschlossen in einem venezianischen Museum。 Was macht das mit einer Person? Welche Assoziationen, Erinnerungen weckt das Gebäude。 wecken die Räume, die Exponate? Wie umgehen mit dem Eingesperrtsein, dem Alleinsein?Leïla Slimani ließ sich genau auf dieses Experiment ein, und dafür bin ich ihr sehr dankbar。 Denn das, was sie aus dieser Nacht, dieser Erfahrung gemacht hat, ist dieses kleine Stück wunderb Geplant war dieses Büchlein nicht。 Aber das Projekt klang einfach zu interessant: Eine Nacht eingeschlossen in einem venezianischen Museum。 Was macht das mit einer Person? Welche Assoziationen, Erinnerungen weckt das Gebäude。 wecken die Räume, die Exponate? Wie umgehen mit dem Eingesperrtsein, dem Alleinsein?Leïla Slimani ließ sich genau auf dieses Experiment ein, und dafür bin ich ihr sehr dankbar。 Denn das, was sie aus dieser Nacht, dieser Erfahrung gemacht hat, ist dieses kleine Stück wunderbarer Literatur, das mich zum Lächeln gebracht und mir Zustimmung entlockt hat, das mich manchmal aber auch vor Empörung den Kopf schütteln ließ。Slimani schreibt in ihrem Buch über das Frausein und über das Muttersein。 Über ihre Kindheit in Marokko, über ihren Weggang und ihr Ankommen in Frankreich。 Über die Freiheit, so zu sein wie sie möchte und über das Ausleben dieser Freiheit。 Und sie schreibt über das Schreiben selbst。 Das Ganze in einer wundervollen Sprache, die der Leserschaft den Duft der Blumen direkt in die Nase bringt。Leicht und schwer zugleich, manchmal düster, meistens erhellend, oft inspirierend und immer ein Lesegenuss。 。。。more

Sara Touri El Mansouri

Este libro es como escuchar una conversación。 Se lee rápido y casi todo transcurre en una noche。 Es un relato lleno de reflexiones, recuerdos y referencias de escritoras, escritores y artistas。